Dormir, téléphoner, pleurer, que faites-vous dans les toilettes du bureau ?

Une marque suédoise spécialisée dans l'hygiène, Svenska Cellulosa Aktiebolaget, a interrogé 13.500 salariés dans 13 pays (dont la France, le Brésil, l'Allemagne ou encore l'Afrique du Sud) sur ce qu'ils faisaient aux toilettes de leur travail. Dans chaque pays, 500 hommes et 500 femmes ont été interrogés.

Ouf, vous pouvez arrêter de regarder vos collègues du coin de l'œil, au bureau, la plupart des gens vont aux toilettes pour des raisons évidentes de besoins à satisfaire. Ensuite, tout est une question d'habitude. Certains se limitent à la petite commission par peur de nuisances sonores. D'autres ont trouvé de nombreux stratagèmes. Sachez en tout cas que la question a donné lieu à de nombreux forums de discussion et d'articles pour trouver des solutions. N'oublions pas aussi les 19% restants qui se retiennent très fort ou ne travaillent pas trop loin de chez eux. Ce ne doit pas être facile tous les jours.

Un coup de fil à la crèche ? Un appel pour réserver le dîner ? Attention, vérifiez bien que personne n'est à côté.

Une soirée spéciale au programme ? Généralement, ce changement de tenue se produit avant la dite soirée (ou, si la soirée a été très longue/bonne, à 9h le lendemain matin, l'esprit un peu plus embué que la veille).

Cela semble assez peu non? Surtout si l'on en croit une autre étude anglaise selon laquelle un téléphone portable sur six présente des traces de matières fécales.

Un coup de mascara et à vous "Le Diable s'habille en Prada!"

Ce moment pendant lequel on se pose des questions aussi essentielles que « Que fais-je de ma vie? » sur le trône... Comme le rappelle le site l'Usine nouvelle, au bureau, « les toilettes apparaissent comme l’ultime rempart quand le besoin d’intimité se fait trop pressant ». L'open space a transformé nos habitudes de travail, ce nouvel usage des toilettes en est la preuve.

Ou épaule contre épaule parfois... Force est de constater que l'étude suédoise élude chastement le pourcentage de salariés qui se retrouvent dans les toilettes pour autre chose qu'une simple discussion.

Encore faut-il avoir la chance d'en avoir une.

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