Ah, le storytelling chez les people… Dans ce monde ouvert à quatre vents, où le moindre gossip est dûment relayé et commenté sur la toile, il est essentiel pour une personnalité médiatique de contrôler au plus près sa communication. Et ce n’est pas la rouée Enora Malagré qui dira le contraire. Pas folle la guêpe, après son « bad buzz » avec son « bébé » Pharell Williams, la bruyante chroniqueuse de « Touche pas à mon poste » a décidé d’inverser la tendance et donc, de donner un peu de soi dans les interviews. Histoire probablement de prendre ses distances avec sa sulfureuse réputation : celle de « flingueuse du PAF la plus redoutable malgré son mètre 60 », comme l’a désignée récemment le site Puretrend.
Quand « Enerva » se livre
Et l’ex-compagne de Cut Killer de se confier sur une enfance évidemment agitée dans les colonnes de l’hebdomadaire Télé-Loisirs. « J'ai été la pire adolescente du monde. Au lycée, j'ai fait une très grosse bêtise, qui m'a valu beaucoup de problèmes. Le fait d'entendre mes grands-parents me dire que je les avais déçus m'a heureusement calmée… », relate-t-elle ainsi. Pudique, celle qui s’est vue affublée par Jamel Debbouze du surnom peu amène de «Enerva» n’en dira pas plus. Mais, on devine sans mal ô combien ce fut un épisode traumatique dans sa vie.