Suite à des maladresses envers Valérie Trierweiler, une policière chargée de protéger la compagne de François Hollande avant l'élection de celui-ci aurait été écartée du Groupe de sécurité de la présidence de la République, indique L'Express. Lors d’un meeting au palais omnisports de Paris-Bercy qui a eu lieu pendant la campagne présidentielle, la compagne de François Hollande n’aurait en effet pas trouvé son sac et les effets du président dans les loges où ils avaient été déposés avant l'événement. La policière avait déplacé ces affaires personnelles dans une autre salle par mégarde.
Un faux-pas que Valérie Trierweiler n’aurait pas oublié, de même qu’un autre geste de la même policière, qui, quelques jours avant ce meeting, lors d’un déplacement à La Réunion, avait protégé la Première Dame du soleil avec une ombrelle. Une attention que Mme Trierweiler aurait jugée déplacée.
« C’est Valérie Trierweiller qui n’a pas voulu la garder », assure une source policière, tandis que la présidence maintient qu’il s’agit d’une décision du cabinet de l’Élysée et de la chef du Groupe de sécurité de la présidence de la République qui fait suite à des « problèmes de comportement professionnel et des erreurs ».
C’est la première fois qu’une garde ayant officié pendant la campagne autour du candidat n’est pas intégrée au sein du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR).
Alexandra Gil
(Sources : lexpress.fr)
Crédit photo : AFP
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