C'est une histoire assez impensable à laquelle la police londonienne vient de faire face. Trois femmes, âgées de 30 ans à 69 ans, auraient été retenues prisonnières pendant trente ans dans une maison du sud de la capitale britannique. Il s'agirait d'une Britannique, d'une Irlandaise, et d'une Malaisienne.
Au mois d'octobre dernier, la Metropolitan Police a été contactée par l'association Freedom Charity les prévenant d'un appel de détresse d'une femme, suite au visionnage d'un documentaire sur les mariages forcés. Cette dernière aurait indiqué à l'ONG être retenue contre son gré, ainsi que deux autres personnes. Les autorités ont alors immédiatement lancé une enquête.
Kevin Hyland, chef de l'unité en charge des trafics d'êtres humains de la Metropolitan Police, a de son côté tenu a remercier et féliciter la réaction rapide de l'ONG : « Nous applaudissons l'action de l'association Freedom Charity, et travaillons main dans la main pour soutenir ces victimes qui, vraisemblablement, ont été retenues captives pendant trente ans ».
Pour l'heure, les femmes, qui se disent « très traumatisés », ont été placées dans un logement sûr.
Mariages forcés : quinze propositions pour mieux protéger les femmes
Campagne choc contre la traite des êtres humains
C'est une histoire assez impensable à laquelle la police londonienne vient de faire face. Trois femmes, âgées de 30 ans à 69 ans, auraient été retenues prisonnières pendant trente ans dans une maison du sud de la capitale britannique. Il s'agirait d'une Britannique, d'une Irlandaise, et d'une Malaisienne.
Tout est parti d'un appel téléphonique
Au mois d'octobre dernier, la Metropolitan Police a été contactée par l'association Freedom Charity les prévenant d'un appel de détresse d'une femme, suite au visionnage d'un documentaire sur les mariages forcés. Cette dernière aurait indiqué à l'ONG être retenue contre son gré, ainsi que deux autres personnes. Les autorités ont alors immédiatement lancé une enquête.
Kevin Hyland, chef de l'unité en charge des trafics d'êtres humains de la Metropolitan Police, a de son côté tenu a remercier et féliciter la réaction rapide de l'ONG : « Nous applaudissons l'action de l'association Freedom Charity, et travaillons main dans la main pour soutenir ces victimes qui, vraisemblablement, ont été retenues captives pendant trente ans ».
Pour l'heure, les femmes qui se disent « très traumatisés », ont été placées dans un logement sûr.