Une conséquence de l’égalité des sexes dans le foyer ? Plus de la moitié des Françaises ne souhaite pas renoncer totalement à son nom de jeune fille en se mariant, selon un sondage « Les Français et la famille » réalisé par BVA pour « 20 minutes » et la Chambre des notaires de Paris. Parmi elles, 20% préfèreraient garder exclusivement leur nom de jeune fille, et 34% y accoleraient le nom de leur époux. Un affranchissement symbolique plus fréquent dans les catégories socioprofessionnelles élevées et chez les sympathisantes de gauche. Les femmes qui parviennent à se faire un nom dans la vie professionnelle n’ont pas envie de repartir à zéro avec celui de leur mari, et on peut les comprendre !
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