Vous hésitez à connaître le sexe de votre enfant avant qu'il ne vienne au monde ? Voici 5 bonnes raisons de ne pas flancher.
Certes, c'est rare, mais il arrive que l'échographe vous annonce l'arrivée prochaine d'une petite fille et que ce soit finalement un bébé doté d'un zizi qui débarque quelques mois plus tard (ou inversement). La seule méthode infaillible est l'amniocentèse mais elle n'est pas sans risque, on ne la pratiquera donc pas pour une histoire de "sexe".
Connaître le sexe, cela signifie aussi devoir le révéler aux autres (du moins en principe) et c'est un peu la porte ouverte aux cadeaux ultra stéréotypés du genre body à paillettes et pyjamas licornes pour les futures mini-demoiselles, et t-shirts "camion" et tétine "moustache" pour les futurs petits mecs. Ne rien savoir, c'est la garantie de recevoir des cadeaux aux couleurs et imprimés neutres, pour notre plus grand bonheur.
En conservant le mystère jusqu'à l'accouchement, pas de risque de déception car quel que soit le sexe, vous ne serez pas "déçus". Car nul doute qu'en tenant votre petite merveille pour la première fois dans les bras, vous vous ficherez bien du fait qu'elle ait (ou non) un zizi.
A peine avez-vous eu le temps de commencer à débattre (et à vous battre ?) avec votre moitié pour imposer April comme prénom si jamais vous attendiez une fille que le docteur vous coupe l'herbe sous le pied : c'est un petit gars qui pousse dans votre ventre. En ayant la surprise, au moins, vous aurez tout le temps pour dresser une liste des prénoms féminins et masculins qui vous plaisent à tous les deux. Et faute de réussir à vous mettre totalement d'accord - elle s'appellera finalement Marie-April - ça vous aura au moins fait passer le temps !
Passée le sale moment de la "délivrance" vous découvrez simultanément sa bouille d'amour et son sexe. Une dose d'émotion et de ravissement supplémentaire en ce jour inoubliable.