Le 11 février prochain, les fans de M. Pokora pourront découvrir le chanteur dans un tout nouveau rôle, celui du juré de The Voice. Mais en attendant de le voir jouer de ses charmes pour appâter des jeunes talents en herbe, c'est sur M6 que le blondinet débarque ce lundi 6 février dans A l'état sauvage, une émission au concept féroce qui envoie les célébrités dans les zones les plus hostiles de la planète. Pour le premier numéro, Michaël Youn s'était prêté au jeu et s'était envolé jusqu'en Namibie. Cette fois-ci, c'est donc Matt Pokora qui a été choisi pour partir à l'aventure en compagnie de Mike Horn, un aventurier de l'extrême. Au programme : un périple de 5 jours sur 50km à travers une jungle peu accueillante du Sri Lanka. L'interprète de Elle me contrôle tiendra-t-il la distance ?
Interrogé récemment par nos confrères de Télé Loisirs, M. Pokora est revenu sur cette aventure hors du commun qu'il n'attendait pas aussi éprouvante : "Je ne m'attendais pas à être déstabilisé à ce point-là, que ce soit si difficile psychologiquement d'accepter d'être faible, de ne pas y arriver". Et d'ajouter : "Moi qui suis quelqu'un de débrouillard... Être en attente de la main de quelqu'un a été difficile (...). Mon pantalon n'a pas été sec de toute l'aventure !"
Grâce à cette expérience, Matt Pokora estime qu'il relativise aujourd'hui plus facilement "certaines situations difficiles". Néanmoins, comme le rapporte Paris Match qui a assisté à la projection de presse d'A l'état sauvage, le futur juré de The Voice a bien failli perdre toute motivation au bout de deux jours seulement. Le chanteur s'est souvenu : "Je ne suis pas habitué à marcher dans ces conditions avec un sac de 20 kilos sur le dos sans manger, sans boire. J'ai très vite explosé, je ne me suis pas du tout reconnu, j'étais très déstabilisé sur les premières 24 heures. Je n'aurais pas abandonné mais les pires traits de caractères sont ressortis dans les premières heures quand j'étais au fond du trou. T'as envie d'être désagréable, de tout envoyer chier, de rentrer chez toi"
Et de conclure : "J'ai plutôt l'habitude de tirer les équipes avec moi, d'être le premier arrivé, le dernier parti quand on prépare un spectacle. Et là pour la première fois, j'avais besoin que quelqu'un me tende la main et me tire avec lui parce que je n'étais pas en confiance et que je ne me reconnaissais pas. Mike (Horne) est quelqu'un qui restera très important dans ma vie, c'est une rencontre qui m'a marqué. C'est quelqu'un avec qui je garderai contact très longtemps".
A l'état sauvage, lundi 6 février sur M6 à partir de 21h