Comme d’habitude, Miss France se dénude, non pas dans Entrevue mais dans Paris Match. On retrouve donc Laury Thilleman lascive, étendue en tenue d’Eve sur une plage de Saint Barth', la photo reste assez sage – c’est pourtant l’œuvre du photographe de charme Antoine Verglas. Mais les règles sont les règles : pas de photos de nu, même si 2011 est passée et qu’une autre a pris le relais, en l’occurrence Delphine Wespiser, pour les foires et les inaugurations de salle des fêtes. Sylvie Tellier a réagi au quart de tour : « Je ne cautionne pas ces photos. (..) Laury sait très bien que c’est contraire aux règles ».
Le plus croustillant se trouve en fait dans l’interview accordée à l’hebdomadaire, où l’ex-Miss Bretagne fait le point sur sa vie sans écharpe, ses projets de boulot – elle pourrait devenir l’égérie de deux marques bretonnes – et la reine de beauté avoue ne pas regretter sa couronne : « Si cela avait duré un an de plus, je ne m’en serais pas remise : aimée, infantilisée, courtisée, la fille saine en jean-baskets serait devenue une princesse pédante ou une paumée », déclare-t-elle. Laury a envie d’avancer : « J’adore jouer la femme idéale, la business girl à l’agenda surchargé ! J’ai l’impression d’être une actrice ». Et c’est le cas, devant l’objectif d’Antoine Verglas, elle est heureuse d’être vue « à nu » et de ne pas sourire : « Je voulais me voir comme je ne m’étais encore jamais vue. Sublimée, émancipée. Une manière de dire "Je m’assume" ».
Au sujet de sa vie amoureuse, elle avoue sa solitude ; son job de Miss, trop prenant, a eu raison de sa relation avec Julien… Elle attend un nouveau surfeur pour combler ses nuits aussi bien que ses jours : « Je garderai toujours en moi le fantasme du surfeur à la peau brunie par le soleil, aux lèvres gercées par le sel que j’apaiserais d’un coup de langue... Mais peut-être retrouverais-je un jour un amour impossible, issu de ces années showbiz, et nous aimerons-nous cette fois. J’adore aimer. » Voilà une Miss qui sait rebondir.
Source : parismatch.com
Crédit photo : Antoine Verglas/ Paris Match
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