






"Pas prêt pour être père"
George Clooney a hésité de longues années durant à devenir père. Il ne s'en sentait pas du tout capable, et profitait volontiers de son célibat de "belle gueule" de l'industrie. C'est la rencontre avec son épouse actuelle, Amal, qui a tout changé. Les deux tourtereaux sont devenus un couple - emblématique - en 2013, et plus de 20 ans de mariage plus tard, la star hollywoodienne explique comment sa chère et tendre a bouleversé sa vision de la paternité.
Au New York Times, il se confie ainsi sur son meilleur rôle, celui de papa, mais aussi sur la complicité qui l'associe à son épouse : "Je n’étais pas vraiment sur le marché pour être père... Puis j’ai rencontré Amal"
Au quotidien toujours, relatent nos consoeurs de Madame Figaro, l'acteur témoigne comme rarement : "J'ai rencontré Amal en 2013 et nous sommes tombés amoureux..."
"Je dois dire qu’après ça, tout a pris un sens !"
L'amour comme révélation face à la parentalité ? En tout cas, une forme d'humilité face à ce que sa partenaire a pu lui apporter dans sa vie : ce qu'il a de plus important au sein de celle-ci.
Parents de jumeaux, Ella et Alexander, George Clooney et Amal représentent aux yeux des tabloïds un idéal de couple : sans tempêtes apparentes ou éclats controversés, médiatisé mais pas dépourvu de discrétion, hyper glamour, riche de sens aussi. Amal est effectivement connue comme un avocate de renom, une femme d'affaires et un "role model" pour bien des générations de femmes aspirant à l'indépendance et à la réussite.
Mais ce n'est pas tout.
C'est aussi l'équilibre apparent au sein de leur relation qui est applaudi par les fans, équilibre parental, équilibre professionnel. D'aucuns voient également là un modèle d'égalité. Et une sorte de rareté ausein de la sphère people et hollywoodienne, alors que bien des confrères du célèbre acteur "collectionnent" les mannequins vingtenaires. On ne citera naturellement pas le nom de Leonardo Dicaprio.
Chose qui semble lointaine aux yeux de ce père et époux comblé donc, quand bien même, rappelons le, 17 ans tout de même séparent George et Amal. Un écart qui, étrangement, est si normalisé quand il ne va que dans un sens. Cet emblématique exemple à retrouver ici vous prouve à quel point l'inverse dérange.