Rebelle : 5 choses que vous ne saviez (peut-être) pas sur le film

En créant Mérida, l’héroïne fougueuse de Rebelle, Pixar a fait un bond en avant. C’est en effet la première fois qu’une femme est le personnage principal d’un film créé par le studio. Qui plus est, c’est également une femme qui a écrit et co-réalisé le film (avec Mark Andrews). Brenda Chapman fut la première américaine à mettre en scène un long-métrage d’animation avec Le Prince d’Egypte en 1998.

Avec Rebelle, c’est également une révolution capillaire qui est née. Mérida est en effet la première héroïne à posséder une chevelure bouclée. Pour le film, les animateurs ont passé trois ans à développer un logiciel permettant de créer de vraies boucles. Au final, il a fallu six mois pour ajouter une à une les boucles sur le crâne de Mérida, pour un total environ de 111 700 cheveux.

>> Noël 2014 : 3 cadeaux originaux à acheter en deux minutes sur internet <<

Chaque film d’animation Pixar regorge d’easter eggs, ces petits clins d’œil à d’autres projets du studio. Dans Rebelle, on en trouve deux. Le premier n’est autre que le camion Pizza Planet, qui apparaît dans chaque dessin-animé Pixar depuis Toy Story (à l’exception des Indestructibles). Ici, on peut l’apercevoir dans l’atelier de la sorcière. L’autre easter egg est une sculpture sur bois de Sully, le héros de Monstres et Cie. Il apparaît également dans l’atelier et annonce ainsi la sortie de Monstres Academy.

Co-fondateur des studios Pixar, Steve Jobs a droit à un hommage tout particulier dans Rebelle (sorti moins d’un an après sa mort). Un personnage porte en effet le nom de Lord Macintosh, en référence au célèbre ordinateur d’Apple. Dans le générique de fin, un hommage plus appuyé est rendu au pionner de l’informatique, décrit comme « un mentor et un ami ».

La célèbre étoffe de laine à carreaux typique des peuples celtes a pris un petit coup de jeune grâce à Rebelle. Pixar a ainsi créé trois motifs différents pour les clans DunBroch, Dingwall et MacGuffin. Ces trois motifs ont été enregistrés officiellement sur le site The Scottish Register of Tartans. Lors de la première du film à Edinburgh, le premier ministre de l’époque, Alex Salmond, a offert un certificat d’authenticité aux réalisateurs du film.

>> 3 nouvelles séries à regarder bien au chaud sous la couette <<