Vous pouvez bien sûr acheter les paires d'aiguilles dont vous avez besoin au fur et à mesure, mais vous pouvez aussi investir directement dans un kit comprenant plusieurs tailles. Ainsi, si vous avez soudainement envie de débuter un nouveau projet, vous aurez déjà la taille d'aiguilles qu'il vous faut sous la main. La bonne nouvelle ? Le tricot étant redevenu une activité indubitablement à la mode, on trouve maintenant des kits abordables d'aiguilles allant de 2mm à 12, voire 15mm. Bambou, acier, plastique ou aiguilles circulaires... la bonne nouvelle c'est qu'il y en a pour tous les goûts.
L'aiguille à laine est en fait une grosse aiguille à coudre disposant d'un chas assez large pour pouvoir y glisser sa laine. On l'utilise pour rentrer les fils dans l'ouvrage ou pour réaliser des coutures. Lorsqu'on se lance dans le tricot, on peut être tellement obnubilé par notre apprentissage qu'on oublie parfois d'investir tout de suite dans une aiguille à laine. Or, elle est généralement indispensable pour terminer un ouvrage correctement, surtout si on commence par un snood (dans ce cas-là, l'aiguille à laine permet de réaliser la fameuse couture invisible en plus de rentrer les fils).
Pas besoin de crocheter pour trouver une utilité au crochet. Tout comme l'aiguille à laine, ce dernier peut s'utiliser pour rentrer les fils lorsqu'on arrive à la fin de notre ouvrage ou pour ajouter un fil différent. Certaines tricoteuses préfèrent l'aiguilles, d'autres le crochet... bref, tout est une question d'affinité. Au bout de quelques essais, vous devriez trouver votre "arme" de prédilection.
Si certains patrons se lisent en mailles, la plupart se lisent quand même en centimètres. Un mètre à ruban est donc plus que nécessaire pour savoir s'il est temps de rabattre les mailles ou de les mettre en attente.
Egalement appelés anneaux de mailles, ces petits objets se glissent sur les aiguilles et servent à marquer les mailles afin de ne pas avoir à les compter systématiquement pour savoir si nous sommes arrivés au moment où l'on doit changer de point ou faire une torsade. Ils sont donc très utiles quand on attaque de gros ouvrages avec des centaines de mailles. Pas très clair ? Alors jetez un oeil à la vidéo ci-dessous.
Pour apprendre le tricot, il y a la méthode classique – c'est à dire trouver une bonne âme qui acceptera de vous prendre sous son aile – ou se lancer en solo. Dans ce cas-là, mieux vaut se munir d'un livre explicatif qui vous apprendra les points les plus simples et vous aidera à rattraper vos erreurs. Pour compléter, n'hésitez pas à regarder les tutos vidéo sur YouTube et Dailymotion. Tous ne sont pas parfaits, mais on y trouve quand même de très bons conseils.
Une aiguille ça peut se tordre ou même se casser si elle est en bambou. Alors pensez à les ranger dans une pochette prévue à cet effet ou encore un joli pot.
Bon ok, cet achat n'est pas vraiment INDISPENSABLE si vous venez de vous mettre au tricot. Mais d'abord, un panier à laine c'est joli. Ensuite, c'est quand même bien pratique dès que vous commencez à accumuler quelques pelotes.
Les tricoteuses de la vieille école préfèrent généralement compter les rangs en prenant des notes dans un carnet. Mais vous pouvez également utiliser un compte rang manuel. Vous savez que vous avez 50 rangs à tricoter ? A chaque fin de rang (ou à chaque début selon votre préférence), appuyez sur le bouton poussoir du compteur. Celui-ci peut également s'utiliser pour compter les points et les motifs. Faites juste attention à choisir un modèle qui dispose d'un mécanisme de verrouillage qui fonctionne bien pour ne pas vous retrouver avec des mauvaises surprises.
En mérinos, en apalga, en acrylique, en coton, en cachemire, en mohair, en bambou... un choix de matière impressionnant s'offre à vous. Et on ne vous parle même pas des couleurs et des tailles. Allez hop, à vos aiguilles.