Valérie Trierweiler est-elle enfin prête à tourner la page ? Alors que depuis la sortie de Merci pour ce moment, était restée très discrète en refusant de donner toute interview à la presse française, l'ancienne compagne de François Hollande a été bien plus loquace avec les médias britanniques.
Le Times, la BBC, le Irish Idependent… Reçue comme une reine outre-Manche, l'ex-Première dame a distillé au fil des interviews qu'elle a livré à nos confrères britanniques des sorties croustillantes qui en disent long sur son état d'esprit et sur sa propension à pardonner à François Hollande et Julie Gayet.
Ainsi, dans un entretien accordé au Irish Independent et rapporté par Closer, la journaliste de Paris Match livre de nouveaux détails sur sa relation avec le chef de l'État. Expliquant avoir écrit Merci pour ce moment pour « s'occuper car, du jour au lendemain, [elle s'est] retrouvée sans avoir plus rien à faire », Valérie Trierweiler affirme aussi que « dans deux ans, tout le monde aura oublié l'existence de [son] livre ».
Elle donne aussi les raisons pour lesquelles elle n'a pas donné d'interview à la presse française : « J'ai été blessée par les médias qui m'ont dépeinte comme une briseuse de couple. […] Ils sont tous très en colère parce que je n'ai accepté aucune interview dans mon pays. Pour le moment, je n'ai pas l'intention de m'adresser à la presse française. Un jour, peut-être… »
Valérie Trierweiler parle aussi de la dernière conversation qu'elle a eue avec François Hollande, à la mi-novembre : « Il est passé me voir chez moi, dans ce qui était aussi son ancien appartement. Il est venu me parler du livre. Il savait que je m'apprêtais à partir en Angleterre et il voulait savoir qu'els sujets j'allais aborder. Mais il m'a aussi assuré que Julie Gayet ne venait jamais à l'Élysée. Il était encore en train de me mentir. »
Pour autant, assure Valérie Trierweiler, elle ne nourrit aucune rancœur ou haine envers son ancienne rivale. « Je ne l'ai jamais rencontrée, je ne lui ai jamais parlé. Elle ne m'a pas menti. Ce n'est pas par rapport à elle que j'ai écrit ce livre, c'est par rapport à lui. C'était avec lui que je partageais ma vie. Alors ce n'était pas à elle de me dire la vérité. »