
"Un verre de whisky à 14h c'est OK" : Camille Lellouche brise le tabou de l'alcoolisme au féminin, mais ça dérange beaucoup les internautes


"Une meuf qui boit un whisky à 14h, jamais je sors avec" : Camille Lellouche brise le tabou de l'alcoolisme, mais fait réagir

Camille Lellouche souhaite poser des mots sur le tabou de l'alcoolisme au féminin. Un fléau que la chanteuse et comédienne a bien connu. C'est sur les ondes du podcast One More Time France qu'elle s'est confiée. Quitte à choquer son audience...


Et c'est pour cela que l'humoriste l'aborde frontalement en nous partageant une situation conjugale dont elle se souvient avec précision. Une discussion très sérieuse, alors qu'elle s'apprêtait, comme à l'accoutumée, à prendre un verre. : “En fait un jour je vais boire un whisky à 14h chez moi, c’était mon habitude, malheureusement... Et mon mec me dit : je ne sais pas ce que tu veux dans l'avenir ? Fonder une famille ? Quelque chose de sain ? Mais moi en tout cas, je ne peux pas vivre avec une femme qui boit un whisky avec 14h"

Dans l'espace commentaires, beaucoup minimisent aussi le geste du verre de whisky en début d'après midi. "Un verre à 14h, ce n'est pas une bouteille, où est le problème ?", "Un verre à 14 ou à 23 heures, ça reste un verre", "Un whisky à 14h c'est OK si c'est ton seul verre de la semaine", "14h c'est déjà tard dans la journée, non ?", peut-on lire.


Nécessaire témoignage quand on pense qu'en 2021 encore, entre 500 000 et 1,5 million de Françaises affirmaient entretenir une "consommation problématique d'alcool".

"Je sortais beaucoup trop aux tout débuts de ma carrière. Je chantais dans des pianos-bars, mais surtout, je buvais beaucoup trop parce que j'étais malheureuse", témoignait-elle déjà dans l'émission Un dimanche à la campagne, auprès de Frédéric Lopez. "Du coup, je n'arrivais plus à aller travailler, donc je ne pouvais pas payer mon loyer, donc je m'endettais".

"Il m'a tout enlevé" : victime de violences conjugales, Camille Lellouche témoigne

























