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témoignage
Photos : "Un verre de whisky à 14h c'est OK" : Camille Lellouche brise le tabou de l'alcoolisme au féminin, mais ça dérange beaucoup les internautes
Publié le 21 février 2025 à 18:00
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"Un verre de whisky à 14h c'est OK" : Camille Lellouche brise le tabou de l'alcoolisme au féminin, mais ça dérange beaucoup les internautes

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"Une meuf qui boit un whisky à 14h, jamais je sors avec" : Camille Lellouche brise le tabou de l'alcoolisme, mais fait réagir © BestImage, Christophe Clovis / Bestimage

"Une meuf qui boit un whisky à 14h, jamais je sors avec" : Camille Lellouche brise le tabou de l'alcoolisme, mais fait réagir

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Camille Lellouche souhaite poser des mots sur le tabou de l'alcoolisme au féminin. Un fléau que la chanteuse et comédienne a bien connu. C'est sur les ondes du podcast One More Time France qu'elle s'est confiée. Quitte à choquer son audience... © Abaca, Urman Lionel/ABACA

Camille Lellouche souhaite poser des mots sur le tabou de l'alcoolisme au féminin. Un fléau que la chanteuse et comédienne a bien connu. C'est sur les ondes du podcast One More Time France qu'elle s'est confiée. Quitte à choquer son audience...

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Et c'est pour cela que l'humoriste l'aborde frontalement en nous partageant une situation conjugale dont elle se souvient avec précision. Une discussion très sérieuse, alors qu'elle s'apprêtait, comme à l'accoutumée, à prendre un verre. : “En fait un jour je vais boire un whisky à 14h chez moi, c’était mon habitude, malheureusement... Et mon mec me dit : je ne sais pas ce que tu veux dans l'avenir ? Fonder une famille ? Quelque chose de sain ? Mais moi en tout cas, je ne peux pas vivre avec une femme qui boit un whisky avec 14h" © Abaca

Et c'est pour cela que l'humoriste l'aborde frontalement en nous partageant une situation conjugale dont elle se souvient avec précision. Une discussion très sérieuse, alors qu'elle s'apprêtait, comme à l'accoutumée, à prendre un verre. : “En fait un jour je vais boire un whisky à 14h chez moi, c’était mon habitude, malheureusement... Et mon mec me dit : je ne sais pas ce que tu veux dans l'avenir ? Fonder une famille ? Quelque chose de sain ? Mais moi en tout cas, je ne peux pas vivre avec une femme qui boit un whisky avec 14h"

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Dans l'espace commentaires, beaucoup minimisent aussi le geste du verre de whisky en début d'après midi. "Un verre à 14h, ce n'est pas une bouteille, où est le problème ?", "Un verre à 14 ou à 23 heures, ça reste un verre", "Un whisky à 14h c'est OK si c'est ton seul verre de la semaine", "14h c'est déjà tard dans la journée, non ?", peut-on lire. © Abaca, Abdullah Firas/ABACA

Dans l'espace commentaires, beaucoup minimisent aussi le geste du verre de whisky en début d'après midi. "Un verre à 14h, ce n'est pas une bouteille, où est le problème ?", "Un verre à 14 ou à 23 heures, ça reste un verre", "Un whisky à 14h c'est OK si c'est ton seul verre de la semaine", "14h c'est déjà tard dans la journée, non ?", peut-on lire.

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Nécessaire témoignage quand on pense qu'en 2021 encore, entre 500 000 et 1,5 million de Françaises affirmaient entretenir une "consommation problématique d'alcool". © Abaca, Domine Jerome/ABACA

Nécessaire témoignage quand on pense qu'en 2021 encore, entre 500 000 et 1,5 million de Françaises affirmaient entretenir une "consommation problématique d'alcool".

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"Je sortais beaucoup trop aux tout débuts de ma carrière. Je chantais dans des pianos-bars, mais surtout, je buvais beaucoup trop parce que j'étais malheureuse", témoignait-elle déjà dans l'émission Un dimanche à la campagne, auprès de Frédéric Lopez. "Du coup, je n'arrivais plus à aller travailler, donc je ne pouvais pas payer mon loyer, donc je m'endettais". © BestImage, Denis Guignebourg / Bestimage

"Je sortais beaucoup trop aux tout débuts de ma carrière. Je chantais dans des pianos-bars, mais surtout, je buvais beaucoup trop parce que j'étais malheureuse", témoignait-elle déjà dans l'émission Un dimanche à la campagne, auprès de Frédéric Lopez. "Du coup, je n'arrivais plus à aller travailler, donc je ne pouvais pas payer mon loyer, donc je m'endettais".

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"Il m'a tout enlevé" : victime de violences conjugales, Camille Lellouche témoigne © Abaca

"Il m'a tout enlevé" : victime de violences conjugales, Camille Lellouche témoigne

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