Anne-Sophie Lapix, venue parler dans l’émission Immédias de son actualité, n’a pas échappé aux questions de Renaud Revel au sujet de « Merci pour ce moment », le brulôt de Valérie Trierweiler. Sans langue de bois, la journaliste politique a évoqué sa gêne en lisant cet écrit.
« J’ai lu soixante-cinq pages, c’est ce que j’ai pu lire avant mon émission, a expliqué l’animatrice de « Ç à Vous ». Je n’ai pas à juger. Un livre on l’écrit parce qu’il jaillit de nous. C’était une femme qui était dans la politique, à l’Elysée pendant un bout de temps donc c’est quand même un acte politique à mon avis que je trouve comme tout le monde extrêmement violent. Dans les soixante-cinq pages que j’ai lues, j’étais gênée par l’évocation de scènes extrêmement intimes avec le président. C’est encore le président. Il est exercice, dans une période difficile. C’est un sacré coup bas quand même. »