"Ce qui attend Britney, et c'est la première fois qu'on peut dire ça depuis une décennie, ne dépend que d'une seule personne : Britney". Ainsi s'enthousiasmait en novembre 2021 Mathew Rosengart, l'avocat de Britney Spears. La justice américaine venait alors de prononcer l'émancipation de la chanteuse. Celle-ci se libérait enfin d'une tutelle paternelle qui aura duré pas moins de treize ans.
Mais la chanteuse a encore bien des choses à dire sur son père, Jamie. Dans un post Instagram, Britney est revenue sans détour sur la manière dont celui-ci n'aurait cessé de la dévaloriser. Jugements physiques, insultes, remarques déplacées... "Pour lui, je devais être parfaite et jolie, mais il n'a cessé de me faire sentir laide. Il me disait que j'étais grosse, que je n'étais pas assez bien", a déploré l'artiste, qui attend son troisième enfant.
Un témoignage douloureux.
"Il a ruiné mon existence et tout ce qui me faisait me sentir belle à 13 ans. Ma confiance, ma conscience, et même ma vie sexuelle", poursuit encore l'interprète iconique de Toxic dans cette publication Instagram abondamment likée et commentée. Une expérience dramatique qui a incité la chanteuse à revendiquer durant son adolescence une certaine "rébellion", de ses propres mots. On l'imagine volontiers.
"Il m'a toujours donné l'impression que je devais essayer, essayer, essayer ! Mais aujourd'hui, je me sens enfin bien dans ma peau ! J'ai arrêté d'essayer", détaille encore Britney Spears à propos de cette oppression paternelle. La popstar affirme être entrée "dans un tout nouveau monde" depuis son émancipation tant souhaitée.
Sur Instagram toujours, Britney le déplore cependant avec amertume : "Les dégâts psychologiques de mon père et de CHAQUE P*TAIN de personne qui l'ont accompagné seront toujours là". Récemment, la star annonçait la rédaction de ses Mémoires. L'occasion, on s'en doute, de revenir sur ses douloureux souvenirs qui ont tant pesé sur sa santé mentale.