Ambiance tendue sur le plateau de « C à vous ». Invitée d'Anne-Sophie Lapix lundi 18 novembre, Carla Bruni a eu un échange musclé avec Patrick Cohen. Alors que la chanteuse dame revenait longuement sur son parcours et notamment sa vie à l'Elysée avec Nicolas Sarkozy, le journaliste de France Inter en a profité pour faire remarquer que son rôle de première dame l'avait sans doute limitée.
« Ah non, j'étais totalement indépendante », a immédiatement précisé Carla Bruni. « Avec des contraintes, des obligations, un devoir de réserve ... », a alors tenté de préciser Patrick Cohen, évoquant un protocole rendant plus difficile l'expression de certaines opinions. Et l'ex-première dame de rappeler au journaliste qu'il n'était pas, lui non plus, aussi indépendant qu'il voulait bien le dire : « Parce ce que vous n'en avez pas des contraintes, des obligations, des devoirs de réserve, tous les jours, à l'antenne ? », a répondu l'ex-mannequin, conseillant au journaliste : « Vous feriez mieux de faire attention à ce que vous dites. Pensez au devoir de réserve ».
L'échange s'est poursuivi sur le même ton. « Ce n'a pas été un carcan d'être épouse de président de la République ? », persiste Patrick Cohen. « D'être tombée folle amoureuse d'un type que j'aime ? Non. C'était un grand bonheur. D'avoir un petit enfant si tard avec lui ? Non, ça a été un miracle. Et de découvrir et rencontrer tous ces gens ? Non, ça a été une belle aventure. Mais peut-être que pour vous, cela aurait été l'horreur », a lancé Carla Bruni visiblement excédée par l'insistance de son interlocuteur.
« Ne faites pas semblant de ne pas comprendre », a rétorqué Patrick Cohen. « Je ne fais pas semblant, je n'aime pas tellement qu'on vienne me dire ce que je pense », a conclu Carla Bruni.
Nicolas Sarkozy & Carla Bruni : dans l'intimité du couple sur D8
Carla Bruni-Sarkozy déprime et critique Valérie Trierweiler
Nabilla : " Sarkozy me copie ", Carla Bruni est " chelou "