Ces femmes qui n'auront pas servi la cause féminine en 2014
Publié le 31 décembre 2014 à 02:00
Par Ariane Hermelin | Journaliste Terrafemina
Journaliste société passée par le documentaire et les débats en ligne.
Certes, il y a eu, en 2014, le prix Nobel de la paix attribué à Malala, le discours d'Emma Watson à l'ONU ou les prises de position engagées de Lena Dunham, qui ont contribué à faire avancer la cause des femmes dans le monde. Mais quid de ces femmes en haut de l'affiche qui, par leurs propos ou leurs agissements, ont contribué à donner une mauvaise image de la gent féminine ? En voici cinq qui méritent la palme.
Ces femmes qui n'auront pas servi la cause féminine en 2014 Ces femmes qui n'auront pas servi la cause féminine en 2014© Couverture de "Paper"
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Kim Kardashian

En exhibant son postérieur huilé en couverture du magazine Paper au mois de novembre, la bimbo n’a pas tant cassé Internet que contribué à vendre l’idée selon laquelle les femmes sont avant tout des objets sexuels.

Kim K

Lana Del Rey

Interviewée par le magazine The Fader, la chanteuse a déclaré benoîtement que « le féminisme [n’était] pas un concept intéressant ». Et qu’elle préférerait parler de l’espace ou de nos « possibilités intergalactiques ». C’est sûr que sur Mars, on l’entendrait moins.

Lana Del Rey

(Image : Agence / Bestimage)

Amina Sboui

En inventant de toutes pièces une agression à son égard par cinq salafistes à Paris, l’ex-Femen a fait du mal non seulement aux féministes, mais aux femmes qui ont subi des agressions sexuelles. Elle a finalement dû présenter ses excuses pour cette affabulation qui lui a valu une amende avec sursis de 1 500 euros.

Amina Sboui
(Photo : Nicolas Messyasz/Sipa)

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Beyoncé

Elle a beau poser en icône de la libération des femmes et danser devant un « feminist » géant, sa manie de (mal) photoshopper ses photos sur les réseaux sociaux a fait grincer bien des dents en 2014. Au moins Kim K ne se fait pas passer pour ce qu’elle n’est pas.

Beyoncé


Valérie Trierweiler

En dévoilant sa vie privée dans les pages de Merci pour ce moment, l’ex-Première dame, élue femme littéraire de l’année par les lecteurs de Terrafemina, a non seulement fait preuve d’une impudeur qui en a hérissé plus d’un, mais surtout contribué à donner l’image des femmes comme assoiffées de vengeance et… d’argent.

Valérie Trierweiler

(Photo : Jean-Marc Lhomer / Bestimage)

Mots clés
Société feminisme
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