En exhibant son postérieur huilé en couverture du magazine Paper au mois de novembre, la bimbo n’a pas tant cassé Internet que contribué à vendre l’idée selon laquelle les femmes sont avant tout des objets sexuels.
Interviewée par le magazine The Fader, la chanteuse a déclaré benoîtement que « le féminisme [n’était] pas un concept intéressant ». Et qu’elle préférerait parler de l’espace ou de nos « possibilités intergalactiques ». C’est sûr que sur Mars, on l’entendrait moins.
(Image : Agence / Bestimage)
En inventant de toutes pièces une agression à son égard par cinq salafistes à Paris, l’ex-Femen a fait du mal non seulement aux féministes, mais aux femmes qui ont subi des agressions sexuelles. Elle a finalement dû présenter ses excuses pour cette affabulation qui lui a valu une amende avec sursis de 1 500 euros.
(Photo : Nicolas Messyasz/Sipa)
Elle a beau poser en icône de la libération des femmes et danser devant un « feminist » géant, sa manie de (mal) photoshopper ses photos sur les réseaux sociaux a fait grincer bien des dents en 2014. Au moins Kim K ne se fait pas passer pour ce qu’elle n’est pas.
Valérie Trierweiler
En dévoilant sa vie privée dans les pages de Merci pour ce moment, l’ex-Première dame, élue femme littéraire de l’année par les lecteurs de Terrafemina, a non seulement fait preuve d’une impudeur qui en a hérissé plus d’un, mais surtout contribué à donner l’image des femmes comme assoiffées de vengeance et… d’argent.
(Photo : Jean-Marc Lhomer / Bestimage)