Enceinte de quelques semaines à peine, Kate Middleton va devoir y aller doucement et prendre soin de sa santé, ainsi que de celle de son futur bébé.
Souffrant, comme lorsqu'elle attendait George, d'hypermesis gravidarum – des nausées matinales aigues – Kate Middleton est au plus mal. Au point que son état de santé inquiète William, mais aussi les médecins, qui ont décidé de la surveiller de très près.
Il faut dire que ce trouble, qui touche moins de 3% des femmes enceintes, peut s'avérer très dangereux s'il n'est pas pris au sérieux. « Ce symptôme se caractérise par cinq à dix vomissements par jour et une perte de poids qui peut atteindre 5% du poids total », explique à l'AFP le Dr Pierre Mares, gynécologue-obstétricien au CHU de Nîmes. « Une hospitalisation peut alors être nécessaire lorsque la perte de poids est trop importante et qu'il y a des signes de déshydratation. »
Mise au repos forcé par ses médecins, Kate Middleton a été contrainte d'annuler certaines de ses obligations officielles. Elle était ainsi absente à la cérémonie d'ouverture des Invictus Games qui se déroulait à Londres mercredi 10 septembre. Sa plus grande angoisse aujourd'hui ? Être admise à l'hôpital King Edward VII à Londres., comme en décembre 2012 pour sa première grossesse, lorsqu'elle était prise de forts vomissements. Un scénario que Kate, mais aussi William, veulent cette fois-ci éviter à tout prix. « William avait très mal vécu l'hospitalisation de Kate lors de sa première grossesse. Il a très peur que cela recommence », a confié un proche du couple royal. Le remède préconisé par les médecins qui suivent la duchesse de Cambridge, afin d'éviter tout séjour à l'hôpital ? Beaucoup de repos et une hydratation régulière de la future maman.
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