Lilian Thuram est attaqué pour publicité frauduleuse
La suite après la publicité
près les déboires de sa rupture avec Karine Le Marchand, Lilian Thuram pensait ne plus avoir à faire à la justice.
Faux!.
Cette fois, il lui faudra franchir les Alpes.
En effet, la justice italienne vient de le convoquer pour une affaire de publicité frauduleuse.
Les faits remontent à l'époque où il jouait sous les couleurs de Parme.
Il n'est d'ailleurs pas le seul joueur à être dans le collimateur de la justice italienne.
Lilian Thuram devra s'expliquer sur les sommes d'argent qu'il aurait reçu à la suite de faux contrats publicitaires établis par la société Parmalat qui détient le club.
Dans cette affaire qui risque de faire grand bruit, le procureur italien demande, ni plus ni moins, que les joueurs incriminés soient renvoyés devant la justice pour "banqueroute frauduleuse involontaire".
La justice italienne a déterminé que, sur une période qui s'étale de 1992 à 2003, 10 millions d'euros ont été versés aux joueurs faisant l'objet de ces poursuites.
Ces faux contrats ont notamment permis à Calisto Tanzi, le patron de Parmalat et propriétaire du club de verser des compléments de salaires illicites.
Outre le français, champion du monde 1998, vingt-cinq autres personnes -agents, dirigeants, joueurs- auront à répondre aux questions de la justice italienne.
Il y a un peu plus d'un an, Lilian Thuram avait déclaré à l'AFP "trouver l'affaire surprenante, surréaliste, avant de préciser, je n'ai jamais fait de publicité pour Parmalat et je n'ai jamais signé de contrat publicitaire non plus avec Parmalat. Ce sera facilement vérifiable".
Affaire à suivre.
Faux!.
Cette fois, il lui faudra franchir les Alpes.
En effet, la justice italienne vient de le convoquer pour une affaire de publicité frauduleuse.
Les faits remontent à l'époque où il jouait sous les couleurs de Parme.
Il n'est d'ailleurs pas le seul joueur à être dans le collimateur de la justice italienne.
Lilian Thuram devra s'expliquer sur les sommes d'argent qu'il aurait reçu à la suite de faux contrats publicitaires établis par la société Parmalat qui détient le club.
Dans cette affaire qui risque de faire grand bruit, le procureur italien demande, ni plus ni moins, que les joueurs incriminés soient renvoyés devant la justice pour "banqueroute frauduleuse involontaire".
La justice italienne a déterminé que, sur une période qui s'étale de 1992 à 2003, 10 millions d'euros ont été versés aux joueurs faisant l'objet de ces poursuites.
Ces faux contrats ont notamment permis à Calisto Tanzi, le patron de Parmalat et propriétaire du club de verser des compléments de salaires illicites.
Outre le français, champion du monde 1998, vingt-cinq autres personnes -agents, dirigeants, joueurs- auront à répondre aux questions de la justice italienne.
Il y a un peu plus d'un an, Lilian Thuram avait déclaré à l'AFP "trouver l'affaire surprenante, surréaliste, avant de préciser, je n'ai jamais fait de publicité pour Parmalat et je n'ai jamais signé de contrat publicitaire non plus avec Parmalat. Ce sera facilement vérifiable".
Affaire à suivre.