« Les maasaïs étaient effondrés pour mon mari », a affirmé l’occidentale monogame. A 35 ans, elle s’est retrouvée coupée pendant 17 jours de son mari, le comédien Jamel Debbouze, et de ses deux enfants, Léon (5 ans) et Lila (2 ans). Pour ce Rendez-vous en terre inconnue sur ces semi-nomades Tanzaniens, elle aurait fait 2 jours et demi de voyage vers une tribu qui « n’avait jamais vu de blancs ». Triomphant de la chaleur écrasante et des bruits d’animaux la nuit, elle repousse ses limites jusqu’à l’épisode fatidique : la dégustation de sang de chèvre chaud qui « rend plus fort ». C’en est trop. Prise de hauts-le-cœur, la jeune femme s’effondre tandis que la production lui glisse discrètement « des plats lyophilisés et des barres de céréales ».
Toutefois, la tribu adopte rapidement la belle aventurière de France 2, qui transporte les enfants de manière traditionnelle. Et lui dévoile le pot aux roses : « J’ai compris que plus un Maasaï a de femmes, plus cela le préserve », raconte-t-elle au Parisien. Plus surprenant encore pour la Française, celles-ci sont souvent amies et solidaires. « Mélissa, tu dois trouver d’autres femmes », lui recommandent-elle donc. Mais au-delà de ce tableau idyllique, il faut rappeler que l’excision n’a pas totalement disparu chez les Maasaïs.
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