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Photos : “Je suis obsédé”, quand Claude François se confiait sur ses préférences pour les "petites filles" de 15 à 18 ans
Publié le 18 janvier 2025 à 17:00
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“Je suis obsédé”, quand Claude François se confiait sur ses préférences pour les "petites filles" de 15 à 18 ans

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“Je suis obsédé”, quand Claude François se confiait sur ses préférences pour les "petites filles" de 15 à 18 ans © Abaca, APS-Medias/ABACA

“Je suis obsédé”, quand Claude François se confiait sur ses préférences pour les "petites filles" de 15 à 18 ans

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“Je suis obsédé par la catégorie de filles qui vient me voir”, confie Claude François dans une interview du 6 avril 1973, réalisée à l’époque par la RTBF, âgé alors de 34 ans. © Abaca, APS-Medias/ABACA

“Je suis obsédé par la catégorie de filles qui vient me voir”, confie Claude François dans une interview du 6 avril 1973, réalisée à l’époque par la RTBF, âgé alors de 34 ans.

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Je vais te dire même si ça peut paraître physique parce qu’on me dit, ‘Bon, t’aimes les fruits verts, t’aimes les petites filles de 15 à 18 ans, après 18 ans c’est des vieillardes on en parle plus’, je dis ‘alors c’est un petit peu ça et en fait c’est le contraire, je les aime jusqu’à 17, 18 ans, après je commence à méfier (...) parce que les filles commencent à réfléchir, elles sont plus naturelles (...) et puis on retrouve cette forme humaine et équilibrée après une bonne trentaine d’années”. © Abaca

Je vais te dire même si ça peut paraître physique parce qu’on me dit, ‘Bon, t’aimes les fruits verts, t’aimes les petites filles de 15 à 18 ans, après 18 ans c’est des vieillardes on en parle plus’, je dis ‘alors c’est un petit peu ça et en fait c’est le contraire, je les aime jusqu’à 17, 18 ans, après je commence à méfier (...) parce que les filles commencent à réfléchir, elles sont plus naturelles (...) et puis on retrouve cette forme humaine et équilibrée après une bonne trentaine d’années”.

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Claude François exprime ici très clairement son attirance vers les adolescentes, d’ailleurs, il les qualifie toujours de “filles” et non de “femmes”, renforçant l’idée qu’il s’agit de personnes jeunes et potentiellement influençables. Autre partie qui dérange, c’est évidemment l’idée qu’une femme qui “réfléchit” n’est pas attirante à ses yeux. © BestImage, BERTRAND RINDOFF PETROFF / BESTIMAGE

Claude François exprime ici très clairement son attirance vers les adolescentes, d’ailleurs, il les qualifie toujours de “filles” et non de “femmes”, renforçant l’idée qu’il s’agit de personnes jeunes et potentiellement influençables. Autre partie qui dérange, c’est évidemment l’idée qu’une femme qui “réfléchit” n’est pas attirante à ses yeux.

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Il ajoute d’ailleurs à son discours la phrase suivante : “Il y a cette espèce d’horrible moyenne entre 18 et 30 ans, j’aime pas les filles entre ces âges-là, elles se sentent obligées de prendre position”. Là encore, l’artiste semble sous-entendre qu’une femme qui pense pour elle-même et qui n’est pas influençable n’est pas quelque chose qui l’intéresse. © BestImage, AGENCE / BESTIMAGE

Il ajoute d’ailleurs à son discours la phrase suivante : “Il y a cette espèce d’horrible moyenne entre 18 et 30 ans, j’aime pas les filles entre ces âges-là, elles se sentent obligées de prendre position”. Là encore, l’artiste semble sous-entendre qu’une femme qui pense pour elle-même et qui n’est pas influençable n’est pas quelque chose qui l’intéresse.

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Si à l’époque, les propos de Claude François n’avaient semble-t-il pas choqué le public, la société étant encore très ancrée dans les idées patriarcales et sexistes dans les années 70, on ne peut s'empêcher de les trouver extrêmement dérangeants aujourd'hui. Ces comportements sont désormais considérés comme des abus de pouvoir caractérisés et font l'objet d'une condamnation sociale unanime. © BestImage, AGENCE / BESTIMAGE

Si à l’époque, les propos de Claude François n’avaient semble-t-il pas choqué le public, la société étant encore très ancrée dans les idées patriarcales et sexistes dans les années 70, on ne peut s'empêcher de les trouver extrêmement dérangeants aujourd'hui. Ces comportements sont désormais considérés comme des abus de pouvoir caractérisés et font l'objet d'une condamnation sociale unanime.

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