Consciemment ou non, nous passons une large partie de notre vie à nous mettre la pression. Et si on arrêtait un peu de se sentir obligée ou coupable et qu'on pensait un peu plus à nous et à notre bien-être pour une fois ? Voici une petite liste non-exhaustive de tous ces moments où l'on ne devrait plus culpabiliser.
Après tout, c'est vous que ça regarde.
Cela appartient désormais au passé, vous n'allez pas continuer à se miner pour si peu.
Ou un téléfilm de M6, c'est selon. Et tant pis si ça ne vole pas haut intellectuellement.
Quelle qu'en soit la raison, vous avez le droit de dire "non" quand vous n'êtes pas d'accord. Point barre.
Un peu de flatterie, ça a du bon, surtout quand c'est justifié ou gratuit. Alors, on cesse de rougir comme une tomate ou de tenter immédiatement de changer de sujet de conversation.
On n'a déjà pas suffisamment de temps à consacrer à nos proches, ceux qui nous veulent du bien, pour en gaspiller avec un ami toxique.
Même si votre frigo est plein. C'est si agréable de se mettre les pieds sous la table, surtout quand celle-ci fait pile-poil face à notre canapé.
Parce que cela fait partie du rituel. Et tant pis si ça croque légèrement. On savoure.
Si votre terre natale vous manque, peut-être le temps est-il venu d'y retourner, au moins le temps d'un week-end ?
Même si vous n'êtes pas malade. Juste parce que vous en avez très envie.
Tant pis pour la vaisselle qui traîne dans l'évier et le linge sale qui déborde du panier. De toute façon, ils reviennent toujours. Ca peut attendre une minute, voire un jour ou deux.
Ou aller boire un café en terrasse en solo. Vous n'allez pas vous abstenir sous prétexte qu'il n'y a personne de disponible pour vous accompagner.
Non, mais, vous n'êtes pas un déversoir à bad mood.
Même si parfois, il faut avouer qu'on aimerait quand même bien pouvoir ajouter quelques filtres à sa vie. La vraie.
Les femmes, en particulier, ont la fâcheuse tendance à s'excuser pour un "oui" pour un "non". Désormais, on garde nos mea culpa pour les moments réellement nécessaires.
Un peu de procrastination dans le tri de nos mails, cela devrait nous dégager un peu de temps pour accomplir d'autres tâches au boulot.
Le smoothie au chou-fleur et les cheveux léopard, ce sera donc sans vous.
Qu'il s'agisse de votre moitié, de vos parents ou de vos amis, vous n'allez tout de même pas culpabiliser de bien gagner votre vie tout de même !
Vous avez une grippe carabinée ? Restez donc chez vous ! On ne va pas vous délivrer un trophée parce que vous êtes venue travailler avec 40 degrés de fièvre.
Et savourer ce moment 100% "farniente".
Le son à fond et les vitres grandes ouvertes ! Un peu de "plouquitude" n'a jamais tué personne. En revanche, ça fait beaucoup de bien.
Parce que la vie est trop courte et qu'il faut être disponible pour croiser l'amour, le vrai.
Et si vous commenciez à envisager de faire quelque chose qui vous plaît ? Vous verrez tout d'un coup le boulot d'un bien meilleur oeil.
La maternité est un choix, pas un devoir. On ne va tout de même pas pondre un enfant parce que "ça se fait".
Le cours de Hiplet, de yoga maman/enfant ou de cuisine dont on rêve coûte un bras ? Mais c'est notre bras à nous après tout. Alors si en se serrant la ceinture, on estime qu'on a de quoi se l'offrir, on fonce.
Parce que vous n'avez pas le temps de papoter ou tout simplement pas envie, là, tout de suite.
Du moins, ceux qui vous semblent réalisables.
Alors que vous adorez ça, que la méditation par les gros mots est foutrement efficace et qu'il y a des fois ou, il faut bien le dire, le langage châtié n'est d'aucun effet.
S'il fallait résumer cet article en un seul point, on ne garderait que celui-ci.