"Mercredi" va-t-elle quitter Netflix ?

Qui peut nier le succès de Mercredi ? Dérivée de l'univers de La famille Addams, la série co-produite et co-réalisée par Tim Burton a aussi bien engendré des audiences records sur Netflix, d'abondantes réactions sur les réseaux sociaux (à l'image des milliers de chorégraphies présentes sur TikTok, détournant la danse de Jenna Ortega) et mille et un débats portant aussi bien sur ses qualités que sur ses aspects les plus contestés.

Et pourtant... Il se pourrait bien que ce succès-surprise déserte la plateforme de streaming pour sa très attendue seconde saison. Effectivement, le show n'a pas encore été renouvelé par Netflix. Tant et si bien que le magazine en ligne Stylist se pose d'ors et déjà la question qui fâche : cette nouvelle saison pourrait-elle apparaître sur une autre plateforme ? Le média s'interroge... Et propose déjà une éventuelle alternative pour sa diffusion.

A en lire Stylist, rapportant les analyses du média Deadline, la fusion d'Amazon et de la Metro-Goldwyn-Mayer (MGM), rachat conclu pour un montant de 8,5 milliards de dollars, pourrait effectivement remettre en question la diffusion de la série burtonienne sur Netflix. Cette fusion ne serait pas sans incidence sur les droits du show, qui est une production MGM. Cette seconde saison pourrait donc directement apparaître sur une autre plateforme : Prime Video.

Cependant, tient à préciser le magazine, cela n'est qu'une possibilité, puisque "rien n'a encore été confirmé". En définitive, Netflix pourrait tout à fait conclure un accord avec la MGM pour reprendre l'un de ses grands succès télévisuels pour cette nouvelle cuvée. Le suspens est présent.

En attendant, toutes les théories se multiplient quant au contenu de cette future saison. Parmi celles-ci se murmure un éventuel retour de la directrice Weems (Gwendoline Christie), et ce malgré le destin funeste dans la saison antérieure de la cheffe de l'académie Nevermore. Des personnages secondaires, comme celui de Tyler, pourraient également gagner en importance dans ce "come back" qui nous fait frémir d'impatience...