Lancé début décembre, CityVille cartonne auprès des utilisateurs Facebook, détrônant ainsi FarmVille, avec plus 84,2 millions de joueurs enregistrés en un mois. Dernier né de la société américaine Zynga, CityVille reprend le concept de son grand frère FarmVille, mais en milieu urbain : le joueur simule la gestion d’une ville, des premières pierres à l’approvisionnement, tout ceci dans un climat d’entraide avec ses « voisins ». Cette nouvelle génération de jeux sociaux s’appuie largement sur le fonctionnement de la plate-forme qui les héberge : Facebook. Impossible de s’en sortir sans l’aide de nombreux « contacts », invités à rejoindre l’application. L’accès au jeu est gratuit, mais par la suite il faut débourser quelques euros pour acquérir de la monnaie ou de l’énergie, ce qu’on appelle les « biens virtuels », indispensables pour gérer et faire prospérer sa ville. Transactions plus que juteuses pour Zynga et Facebook : on n’a pas fini de voir pousser les jeux sociaux…
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