Des papas plus impliqués pour des bébés plus apaisés ? Une étude éclaire cette réalité
Des pères qui s'impliquent plus pour des bébés en meilleur forme ? Une étude le démontre
Et si l'engagement des pères dans le couple était nécessaire au bien être des bébés ? Une étude le suggère, chiffres à l'appui.
Selon cette étude menée auprès de 28 050 enfants, la forte implication des pères dans la garde des enfants est associée à un risque plus faible de retard de développement des enfants en question dans plusieurs domaines : "la motricité globale, la motricité fine, la résolution de problèmes".
En prenant en compte "des facteurs de confusion potentiels", l'étude en déduit que cette implication serait bénéfique au développement de l'enfant, à sa sociabilité, à ses déplacements au sein de son environnement.
... Bref, à ce que l'étude intitule "les résultats développementaux". Et ce, dès les six mois de l'enfant.
Tant et si bien que les chercheurs se réjouissent de voir, dans les pays développés, une augmentation du temps "que les pères consacrent à la garde de leurs enfants", ce qui est souvent synonyme de "soins paternels".
Un constat que beaucoup associent à un phénomène, celui des nouveaux pères : plus attentionnés, présents, impliqués.
Prenant en compte les données de la Japan Environment and Children's Study, l'étude publiée dans la revue Pediatric Research nous explique que la participation active des pères pendant la petite enfance peut réduire à l'unisson "le stress parental maternel"
Et ce dès les un an et demie des nourrissons, et jusqu'à ses 3 ans.
Il y a trois ans déjà, une recherche menée par la Vrije Universiteit Brussel en collaboration avec l'université de Liverpool, avait observé les vertus de l'engagement du père dans la santé du ou des bébés. Et notamment, sur la santé mentale, psychologique...