Le pitch : L’œuvre d’un journaliste qui en a assez qu’on ne parle que de l’orgasme féminin dans la presse féminine. Et comme la presse masculine n’en parle pas ou peu, l’auteur se propose de nous livrer « les vraies préférences des hommes et leurs petites lubies ».
La phrase choc : « N’écoutez pas les hommes qui se prétendent insensibles à ce qu’ils nomment parfois les "clichés" de la féminité. S’ils vous disent qu’une culotte en coton trouée les excite autant qu’une lingerie raffinée, ne les croyez pas… »
Avant-goût : « Quand vous faites une fellation à votre homme, mettez les doigts dans sa bouche. Soyez attentive aux mouvements de sa langue. Très souvent, il sucera et lèchera vos doigts comme il aimerait que vous vous occupiez de son sexe. »
« Faire l’amour à un homme », de Pierre des Esseintes, Éditions First, 2,99 €.
Le pitch : Nikki Fairchild n’a pas besoin d’un mentor ou d’un amant pour la rassurer. À 24 ans, l’ex-reine de beauté débarquée de Dallas commence un nouveau job à Los Angeles et s’apprête à mettre sa carrière sur les bons rails. Elle entretient pourtant un drôle de rapport avec son passé. Sa rencontre avec Damien Starck et la proposition « indécente » qu’il va lui faire ne va rien arranger. Le riche homme d’affaires et la jeune beauté nous rappellent un peu trop le couple Ana-Christian de « Fifty Shades of Grey ». Les lectrices de mommy porn apprécieront.
La phrase choc : « Je vais vous baiser Nikki, et quand nous jouirons, nous jouirons si fort que notre plaisir crèvera le plafond. »
Avant-goût : « Je veux un portrait de vous. Un nu. (…) On vous voit de trois quarts. Vous êtes au pied d’un lit, face à une fenêtre ouverte sur l’océan. Des voilages diaphanes flottent autour de vous et vous frôlent. On aperçoit le renflement de vos seins et on devine un téton. Mais vous détournez les yeux. Votre identité reste secrète. Il n’y a que moi qui la connais. »
« Délivre-moi », de Julie Kenner, Michel Lafon, 16,95 €.
Le pitch : Charlotte a beau avoir une libido ultra-exigeante, elle est sans doute la plus sage de ses copines complètement barrées et désinhibées. Déborah, orthophoniste le lundi et dominatrice le mardi, s’éclate en organisant de partouzes de soumis et en habillant ses amants en soubrettes ou en lapins. Morgane travaille quand ça lui chante et change de mec comme de couleur de cheveux. Au beau milieu de cette débauche, Charlotte mène sa barque de blogueuse cuisine à succès, fraîchement embauchée dans un magazine réputé. Son équilibre et sa vie sexuelle basculent le jour où un nouveau rédac’ chef déboule dans l’open space...
La phrase choc : « Homme enculé, homme fidélisé ». C’est en ces termes que Déborah livre sa doctrine sur le couple qui dure à Charlotte. Elle développe dans cette savoureuse formule : « L’homme est peu de chose : flattez-lui le cul, et il filera doux ».
Avant-goût : « Au moment de quitter la salle de bain, Charlotte fut prise de remords. Elle qui passait ses journées à imaginer des recettes saines et biologiques, faites à base de produits cultivés dans le respect de l’environnement, voilà qu’elle se surprenait encore à adopter un comportement anti-écologique notoire. Il fallait vraiment qu’elle renonce à se masturber sous la douche. Combien de litres d’eau gâchés pour son plaisir ? »
« Sex in the Kitchen », de Octavie Delvaux, La Musardine, 15 €
Lectures hot : "Fifty Shades of Grey" inspire des e-books érotiques
Bibliothèque érotique d'été, à lire en toutes saisons
Fifty Shades of Grey, le Viagra bio de ces dames ?