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Société
Photos : "Je lui ai dit Monsieur Bayrou c'est grave" : une ancienne enseignante à Bétharram affirme que le couple Bayrou était au courant des violences
Publié le 27 mars 2025 à 18:00
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"Je lui ai dit Monsieur Bayrou c'est grave" : une ancienne enseignante à Bétharram affirme que le couple Bayrou était au courant des violences

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Auditionnée par l'Assemblée Nationale le 26 mars, une ancienne professeure à Notre-Dame De Bétharram a réitéré ses accusations. © Abaca Press, Pool/ABACA

Auditionnée par l'Assemblée Nationale le 26 mars, une ancienne professeure à Notre-Dame De Bétharram a réitéré ses accusations.

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Françoise Gullung assure avoir alerté François Bayrou et sa femme au sujet des violences faites aux enfants - et ce, dès les années 90. © Abaca Press, Bernard Patrick/ABACA

Françoise Gullung assure avoir alerté François Bayrou et sa femme au sujet des violences faites aux enfants - et ce, dès les années 90.

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Elle a décrit une scène ayant eu lieu en 1994 : "J'ai entendu un adulte qui hurlait sur un enfant, le cognait, j'entendais les coups", puis expliqué avoir tout de suite alerté Elisabeth Bayrou. © Abaca Press, Pool/ABACA

Elle a décrit une scène ayant eu lieu en 1994 : "J'ai entendu un adulte qui hurlait sur un enfant, le cognait, j'entendais les coups", puis expliqué avoir tout de suite alerté Elisabeth Bayrou.

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Françoise Gullung a également indiqué avoir continué à signaler les violences à maintes reprises. Elle dit avoir écrit à François Bayrou, qui était alors ministre de l'Education nationale et conseiller départemental. Sans succès. © Abaca Press, Bernard Patrick/ABACA

Françoise Gullung a également indiqué avoir continué à signaler les violences à maintes reprises. Elle dit avoir écrit à François Bayrou, qui était alors ministre de l'Education nationale et conseiller départemental. Sans succès.

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Quelques mois plus tard, l'enseignante explique l'avoir croisé lors d'un événement de l'établissement scolaire. "Je lui ai dit Monsieur Bayrou, c'est vraiment grave ce qu'il se passe à Bétharram, il faut faire quelque chose. Et il m'a simplement répondu : on exagère". © Abaca Press, Jumeau Alexis/ABACA

Quelques mois plus tard, l'enseignante explique l'avoir croisé lors d'un événement de l'établissement scolaire. "Je lui ai dit Monsieur Bayrou, c'est vraiment grave ce qu'il se passe à Bétharram, il faut faire quelque chose. Et il m'a simplement répondu : on exagère".

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