"Je suis quelqu’un de sensible, très en contact avec ma part féminine", témoigne James McAvoy, qui dénonce "la masculinité toxique"
"Je suis quelqu’un de sensible, très en contact avec ma part féminine", témoigne James McAvoy, qui dénonce "la masculinité toxique"
Dans les pages de Première, la star de "Split" est revenu sur son expérience du film d'horreur "Speak No Evil" où il joue encore un méchant. Et a parlé psychopathes, mais surtout "mascus", virilité et féminité. Rien que ça.
"Dans ce film, mon personnage est l’incarnation d’une forme de masculinité toxique vraiment horrible", a-t-il témoigné. Effectivement. La star s'est inspiré d'Andrew Tate, l'une des figures du proue du masculinisme, cette idéologie qui prône la haine des femmes.
Si Andrew Tate Tate est un influenceur misogyne arrêté l'an dernier pour traite d'êtres humains, pointé du doigt pour incitation à la haine, propos dangereux, James McAvoy explique à l'inverse : "Je suis quelqu’un de sensible, très en contact avec ma part féminine !"
McAvoy, égérie d'une "nouvelle masculinité" ? L'inverse de son alias à l'écran, grand méchant qui "a un côté 'concours de b*tes", dit-il à Empire...