La "règle des 4 cadeaux" va vous aider à résoudre le casse-tête de Noël

Ah, Noël... Ses retrouvailles familiales (parfois houleuses), ses repas interminables... et les cadeaux au pied du sapin. Sauf que parmi ces paquets, vous savez déjà qu'il y en a un tiers que vous n'allez pas aimer, et certainement un tiers dont vous vous serez lassé·e d'ici le prochain Noël. Et c'est en général la même chose pour les enfants. Tous les ans, vous vous demandez comment faire pour que leur montagne de cadeaux leur soit réellement utile ?

TikTok semble avoir résolu ce casse-tête grâce à la "règle des quatre cadeaux". Elle consiste à répartir les présents en quatre catégories : "Vouloir, avoir besoin, porter, lire". Au lieu de vous ruiner en voulant gâter vos enfants avec des surprises dont ils se désintéresseront aussitôt le papier cadeau déchiré, préférez la qualité à la quantité en vous limitant à un cadeau par catégorie, voire moins si vous le souhaitez (l'avantage de cette règle, c'est qu'elle est flexible).

Ainsi, limitez-vous à quelque chose que vos enfants veulent vraiment (un jouet qu'ils vous auraient demandé, par exemple), quelque chose dont ils ont besoin (une gourde, un sac à dos, des baskets neuves), quelque chose qu'ils vont pouvoir porter (des bottes de pluie sur lesquelles ils ont craqué, un bonnet...) et enfin quelque chose qu'ils vont pouvoir lire.

Dans la vidéo ci-dessous, une mère explique comment elle a adapté la règle à sa famille. Postée en 2021, elle a récolté plus de deux millions de "j'aime" sur TikTok.

Cette tendance n'est pas nouvelle, mais elle mérite d'être (re)découverte par les parents à court d'idées chaque année. Cependant, elle n'est pas au goût de tout le monde, certaine·s voyant dans cette règle une forme de radinerie, d'autres ayant peur de "décevoir" leurs enfants.

"Ma tradition est de donner à mon enfant ce qu'il me demande peut importe ce que c'est", commente ainsi une internaute sur TikTok. "Honnêtement, je préfère avoir des choses que je veux plutôt que des trucs au hasard que je finirai par jeter", écrit une autre. La joie (extrêmement) passagère des enfants au pied du sapin ne pourrait-elle pas être remplacée par celle qu'ils auront à profiter d'un cadeau qui durera longtemps ?