Cette carte, qui aura le même aspect que le passeport biométrique, contiendra bien entendu les mêmes informations qu’une carte d’identité traditionnelle, à savoir les coordonnées, taille, photo et empreintes digitales.
Pour ceux qui le souhaitent, une deuxième puce permettra d’enregistrer une signature électronique, avec laquelle ils pourront, par exemple, s’identifier sur des réseaux de communications électroniques, comme les transactions en ligne. Cette initiative aurait pour but de sécuriser l’identité d’une personne et de limiter les tentatives de contrefaçons et d’usurpation d’identité.
Cité par les Echos, le sénateur du Cher et rapporteur du texte de loi François Pillet a déclaré « le fil rouge, c’est de rendre la carte beaucoup plus sécurisée qu’elle ne l’est aujourd’hui ». En effet, en France, 13 900 faits de fraude et d’usurpation d’identité ont été enregistrés en 2009. La loi devrait être débattue à la fin du mois d’avril par les locataires du Palais du Luxembourg, avant d’être débattue par l’Assemblée nationale.
Sources : Femmes Mag et ZDnet
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