Les politiques continuent de parler sur cette affaire et les journaux s’en font également l’écho en rapportant que le patron du FMI a toujours eu un penchant pour les femmes.
Ironie ou pas, Libération relate un déjeuner avec DSK (28 avril 2011) dans lequel il évoquait ses trois handicaps s’il devait se présenter en 2012 : « le fric et sa judéité, mais en premier il parle des femmes ». Au cours de ce déjeuner, DSK s’était mis à imaginer un traquenard, qui prend toute son importance aujourd'hui, évoquant «une femme (qu'il aurait) violée dans un parking et à qui on promettrait 500 000 ou un million d'euros pour inventer une telle histoire...».
DSK et la procédure judiciaire en cours :
DSK plaide non coupable, on a pu le voir menottes aux poignets sortant du Commissariat de Harlem, mais rien n’a filtré sur sa destination. Il doit comparaitre à 17h (heure française) devant un juge qui décidera si oui ou non il peut être mis en liberté sous caution. La caution pourrait s'élever à plusieurs millions de dollars. Les peines sont cumulables sur le sol américain. Il risque jusqu’à 20 ans de prison.
En plus des deux avocats américains William Taylor et Benjamin Brafman, DSK a également fait appel à Jean Veil pour le défendre. Son « ami à la Porsche » Ramzi Khiroun est également du voyage.
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DSK défendu par Benjamin Brafman, ancien avocat de P.Diddy et Michael Jackson