Le sexting, une activité à haut risque ? Parmi les risques constatés, celui de se tromper de destinataire (de Paul à Papa, votre doigt peut facilement ripper) ou celui de se faire griller par la personne qui lit derrière votre épaule dans le métro… Autre danger : conserver des photos de son anatomie dans son téléphone, et se tromper de fichier en pièce-jointe. C’est ce qui est arrivé à un utilisateur de l’application Android « hello ».
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L’application est séduisante : au lieu de service de messagerie SMS classique, un design épuré, une ergonomie proche de Facebook et une rapidité d’utilisation incomparable. D’ailleurs, l’envoi de texte et de photos est si rapide que le choix de la photo n’est pas validé comme dans une application classique, où une miniature montre l’image sélectionnée avant qu’elle ne parte. Une fonctionnalité qui aurait permis à un utilisateur d’hello de ne pas envoyer à sa maman une photo de son intimité à sa mère, au lieu de joindre la photo de sa nouvelle voiture. Le « fail », dévoilé sur le site Reddit, aurait pu être évité par une simple confirmation du choix de la photo. Un des désavantages de la rapidité ?
Que la victime se rassure. Cet utilisateur d’hello n’est pas le seul à avoir envoyer un sexto malgré lui. En 2012, une étude britannique révélait que 11% des sms coquins n’étaient pas envoyés à la bonne personne. Et plus précisément, 16% des hommes et 8% des femmes ont déjà envoyé un sexto à un membre de leur famille, par accident.
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