Les prières du fils de Sakineh Mohammadi Ashtiani ont été entendues. Sajjad Ghaderzadeh a ainsi lancé un appel : «Ne lâchez pas ; ne nous abandonnez pas; seule la pression des femmes et des hommes libres du monde peut sauver ma mère ».
Sous la pression internationale, les autorités iraniennes ont annoncé qu’elles suspendaient la peine de lapidation de la veuve de 43 ans, jugée et condamnée pour adultère et complicité d’assassinat. Mais les avocats de Sakineh doutent des déclarations officielles.
Cent mille signatures avaient déjà été récoltées lors de la pétition « Il faut empêcher la lapidation de Sakineh », et une grande marche organisée. Afin de maintenir la pression sur l’Iran, l’association Ni Putes Ni Soumises et le philosophe Bernard-Henri Lévy appellent à un grand rassemblement pour Sakineh le dimanche 12 septembre à 14 heures, Place de la République à Paris. Venez nombreux !
Lisez le décryptage de l’affaire Sakineh par un chercheur spécialiste de l’Iran