Romy Alizée commence à poser en 2010, puis passe derrière la caméra quelques années plus tard. Son esthétique aux accents vintage met en scène des modèles loin des normes qu'elle soumet à ses propres fantasmes.
L'année dernière, elle a sorti Furie (éd. Maria Inc), son premier ouvrage photographique qui rassemblent ces images "motivées par la célébration de la beauté des gens qui m'entourent, des rapports humains, de la pluralité des corps, des sexualités", comme elle l'expliquera à Cheese. Des auto-portraits qu'elle capture avec un air blasé qui ajoute une touche décalée au résultat léché.
Féministe convaincue, elle pose sans filtre et nous donne envie d'en apprendre plus sur sa vision du sexe. C'est chose faite.
Romy Alizée : Face à une société oppressive qui dicte à chacune ce qu'elle devrait faire de son corps, faire l'amour comme on le souhaite peut effectivement être source d'émancipation. N'en déplaise aux réacs !
Le "Soraya" de Lelo. Une machine à orgasmes.
Je rêve de baiser dans une chambre d'hôpital. Ce serait non pas avec une infirmière mais plutôt avec un·e voisin·e de chambre.
"Tu mouilles vraiment beaucoup, là".
Tease Cake, de Poppy Sanchez (et ce n'est pas parce que je joue dedans !). Poppy met en scène un goûter entres amies qui vire à l'orgie lesbienne revendicatrice, filmé en 16mm.
Mes doigts dans une chatte humide, la personne que j'aime entre mes cuisses, sentir son ou sa partenaire jouir.
Pour qui a vu la meilleure série du monde The Wire, Snoop est mon fantasme numéro 1.
Non. La flemme.
C'est une position un peu controversée... Moi je suis pour que les femmes puissent se faire prendre en levrette si elles en ont envie. Le sexe, c'est prendre du plaisir. Si on commence à juger les positions, on n'a pas fini. Le tout est de respecter les limites et le consentement d'autrui.
Basique !