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Culture
Photos : Cette semaine, on (re)découvre sur ARTE ce poignant portrait de Jane Birkin par sa fille Charlotte, qui est aussi un grand film féministe
Publié le 30 septembre 2024 à 10:51
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Cette semaine, on (re)découvre sur ARTE ce poignant portrait de Jane Birkin par sa fille Charlotte, qui est aussi un grand film féministe

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Cette semaine, on (re)découvre sur ARTE ce poignant portrait de Jane Birkin par sa fille Charlotte, qui est aussi un grand film féministe

Cette semaine, on (re)découvre sur ARTE ce poignant portrait de Jane Birkin par sa fille Charlotte, qui est aussi un grand film féministe

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Déclaration d'amour d'une mère à une fille, portrait d'une "Jane" bien au delà des sempiternelles représentations sixties, film du deuil, avant le deuil... Impossible de ne pas pleurer en (re)découvrant "Jane par Charlotte" sur ARTE.

Déclaration d'amour d'une mère à une fille, portrait d'une "Jane" bien au delà des sempiternelles représentations sixties, film du deuil, avant le deuil... Impossible de ne pas pleurer en (re)découvrant "Jane par Charlotte" sur ARTE.

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Jane Birkin se dévoile sous la caméra de sa fille entre deux photos, deux discussions pas toujours dépourvues d'amertume, quelques introspections ou coups d'oeil dans le rétro. Jane par Charlotte est un document exceptionnel, mais c'est surtout un geste de tendresse infinie. © BestImage

Jane Birkin se dévoile sous la caméra de sa fille entre deux photos, deux discussions pas toujours dépourvues d'amertume, quelques introspections ou coups d'oeil dans le rétro. Jane par Charlotte est un document exceptionnel, mais c'est surtout un geste de tendresse infinie.

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Aux antipodes du mélodrame cependant, ce documentaire de Charlotte Gainsbourg est à son image : pudique, ultra sensible, hanté par des non-dits tellement plus éloquents que de trop longs discours. Un film nommé aux César mais reparti injustement bredouille ! © BestImage

Aux antipodes du mélodrame cependant, ce documentaire de Charlotte Gainsbourg est à son image : pudique, ultra sensible, hanté par des non-dits tellement plus éloquents que de trop longs discours. Un film nommé aux César mais reparti injustement bredouille !

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Mais ce qui nous plaît beaucoup dans ce documentaire filial et sororal, c'est le regard que Charlotte voue à Jane. Aux antipodes des sempiternels clichés nostalgiques, qui érigent Jane Birkin en égérie éternellement sixties, muséifiée, dans tous les sens du terme, comme figée dans un temps révolu, ce film nous dévoile la Birkin du présent, vive. Dans la peau d'une grand mère riante, d'une femme septuagénaire vulnérable, encore décalée, solaire. © BestImage

Mais ce qui nous plaît beaucoup dans ce documentaire filial et sororal, c'est le regard que Charlotte voue à Jane. Aux antipodes des sempiternels clichés nostalgiques, qui érigent Jane Birkin en égérie éternellement sixties, muséifiée, dans tous les sens du terme, comme figée dans un temps révolu, ce film nous dévoile la Birkin du présent, vive. Dans la peau d'une grand mère riante, d'une femme septuagénaire vulnérable, encore décalée, solaire.

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