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Photos : "Mon corps m'a été volé" : la plainte pour viol contre ce rappeur classée sans suite, l'une des plaignantes brise le silence

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Photos : "Mon corps m'a été volé" : la plainte pour viol contre ce rappeur classée sans suite, l'une des plaignantes brise le silence
Publié le 27 mars 2025 à 19:00
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"Mon corps m'a été volé" : la plainte pour viol contre ce rappeur classée sans suite, l'une des plaignantes brise le silence

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Les accusations pour viol envers le rappeur avaient été classées sans suite en janvier dernier. © Abaca Press, Reynaud Julien/APS-Medias/ABACA

Les accusations pour viol envers le rappeur avaient été classées sans suite en janvier dernier.

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Miranda Starcevic, l'une des trois femmes à avoir porté plainte pour viol contre Lomepal en 2020 a pour la première fois pris la parole sur son compte Instagram, le 25 mars. © Abaca Press, Reynaud Julien/APS-Medias/ABACA

Miranda Starcevic, l'une des trois femmes à avoir porté plainte pour viol contre Lomepal en 2020 a pour la première fois pris la parole sur son compte Instagram, le 25 mars.

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Pour rappel, elle accuse le rappeur de l'avoir violée en 2017. A la suite de son dépôt de plainte en 2020, une deuxième, puis une troisième femme avaient déposé plainte. Mais l'enquête avait abouti à un classement sans suite. © Abaca Press, Reynaud Julien/APS-Medias/ABACA

Pour rappel, elle accuse le rappeur de l'avoir violée en 2017. A la suite de son dépôt de plainte en 2020, une deuxième, puis une troisième femme avaient déposé plainte. Mais l'enquête avait abouti à un classement sans suite.

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Miranda Starcevic a brisé le silence : "Ma vie a basculé le 24 mars 2017, mon corps m'a été volé. Comme s'il ne m'appartenait plus", a-t-elle confié. © Capture Instagram @letsgetflashy

Miranda Starcevic a brisé le silence : "Ma vie a basculé le 24 mars 2017, mon corps m'a été volé. Comme s'il ne m'appartenait plus", a-t-elle confié.

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"On n'entend jamais les victimes", a-t-elle encore regretté. "Alors aujourd'hui, je parle, car la parole, c'est la seule arme qui me reste." © Abaca Press, Shootpix/ABACA

"On n'entend jamais les victimes", a-t-elle encore regretté. "Alors aujourd'hui, je parle, car la parole, c'est la seule arme qui me reste."

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