Si Britney Spears s'est rasée le crâne en 2007, c'est pour une (très) bonne raison
Si Britney Spears s'est rasée le crâne en 2007, c'est pour une (très) bonne raison
Si Britney Spears s'est rasée le crâne en 2007, c'est pour une (très) bonne raison
Les Mémoires de Britney arrivent en librairies et elles sont riches en révélations. On y apprend notamment... Pourquoi la star s'est rasée le crâne.
Un épisode de sa vie resté tristement fameux car immortalisé par les tabloids. Et pourtant, elle avait de très bonnes raisons de se raser les tifs. Cela concerne beaucoup de femmes...
Le 16 février 2007, Britney Spears se retrouvait - comme souvent - assaillie par les paparazzi après être sortie... D'un mauvais salon de coiffure en plein Hollywood. Photographes envers lesquels elle aurait eu des gestes violents
La chanteuse a par la suite été placée sous tutelle - d'où le mouvement #FreeBritney qui s'ensuivit des années plus tard. C'est tout ? Non.
Traitée de folle, source de commentaires plus ou moins (surtout plus) déplacés sur sa santé mentale, mais aussi sur son physique... Mine de rien, l'épisode du "crâne rasé" restera dans l'histoire de la pop et people culture, comme un cas d'école du traitement bien sexiste des célébrités féminines à une certaine époque.
Mais Britney avait de bonnes raisons d'agir ainsi. Elle explique son geste : "J'ai été scrutée tellement souvent en grandissant. On me regardait de haut en bas, des gens me disaient ce qu'ils pensaient de mon corps depuis l'adolescence..."
"Me raser le crâne et agir de la sorte a été ma façon de rejeter ça"
Celle qui depuis les années 90 était considérée comme l'enfant chéri de l'Amérique a surtout subi l'enfer que peuvent expérimenter les enfants star. Ce qui importait pour Britney était surtout de garder "le contrôle de [son] corps".
Le contrôle de son propre corps, et sa capacité à en disposer librement, c'est apparemment LE grand thème de The Woman Inside Me. Lorsque la chanteuse témoigne de son avortement, on retrouve la même intention : se confronter à la manière dont les médias et la société peuvent jugent une jeune femme à l'aune de ses choix. Une lecture qui promet d'être féministe ?