Et si on étudiait Aya Nakamura ? (cette université nous le propose, et ça énerve déjà les racistes)
Aya Nakamura, un sujet d'études ? Sur la même lignée que les "Beyoncé Studies", une célèbre université lance l'appel. Et c'est en France que ça se passe.
Une journée d'études ponctuée de conférences a effectivement pris place à l'Université de Rennes 2, intitulée : "Aya Nakamura – Le minoritaire et le majoritaire" . Montréal, Tours, Nanterre, Québec : les professeurs viennent de partout pour décrypter Djadja.
"L’une des critiques les plus courantes c'est le fait qu’elle "ne chanterait pas en français". Or dans ses chansons, on retrouve du verlan, des mots roumains, français, espagnols et arabes avec des expressions issues du nouchi ivoirien ou de la rue de Bamako au Mali"
Aya prend-t-elle la suite de Queen B ? "Beyoncé: nuances d'une icône culturelle", c'est le nom d'une série d'une demi-douzaine de cours proposée par l'Ecole Normale Supérieure l'an dernier. Un séminaire de prestige qui inaugure les "Beyoncé studies !"