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cinéma
Photos : Pourquoi cette scène de nu de Demi Moore dans "The Substance" est si importante
Publié le 5 novembre 2024 à 08:00
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Pourquoi cette scène de nu de Demi Moore dans "The Substance" est si importante

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Pourquoi cette scène de nu de Demi Moore dans "The Substance" est si importante © BestImage, WALTER / BESTIMAGE

Pourquoi cette scène de nu de Demi Moore dans "The Substance" est si importante

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Demi Moore fait un coming back magistral dans "The Substance", farce horrifique redoutable sortie ce 6 novembre. Et se met littéralement à nu dans une scène aussi audacieuse que sulfureuse. © BestImage, WALTER / BESTIMAGE

Demi Moore fait un coming back magistral dans "The Substance", farce horrifique redoutable sortie ce 6 novembre. Et se met littéralement à nu dans une scène aussi audacieuse que sulfureuse.

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Dans une scène, Demi Moore s'apprête à expérimenter la "substance". Totalement nue dans sa salle de bains, l'actrice se dévoile en tenue d'Eve à 61 ans, frontalement. Moore envoie ainsi valdinguer l'âgisme, cette exclusion des actrices une fois le cap de la quarantaine atteint. © BestImage, Lucia Sabatelli / Bestimage

Dans une scène, Demi Moore s'apprête à expérimenter la "substance". Totalement nue dans sa salle de bains, l'actrice se dévoile en tenue d'Eve à 61 ans, frontalement. Moore envoie ainsi valdinguer l'âgisme, cette exclusion des actrices une fois le cap de la quarantaine atteint.

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Coralie Fargeat met en scène Demi Moore afin de dénoncer le culte du corps et de la jeunesse, l'hypocrisie de l'industrie hollywoodienne, la pression de la la chirurgie esthétique, entre autres diktats de beauté aliénants. La réalisatrice s'empare du sous genre horrifique le plus organique (le body horror) afin d'exacerber cette réalité jusqu'à la terreur tétanisante. © BestImage, Zuma Press / Bestimage

Coralie Fargeat met en scène Demi Moore afin de dénoncer le culte du corps et de la jeunesse, l'hypocrisie de l'industrie hollywoodienne, la pression de la la chirurgie esthétique, entre autres diktats de beauté aliénants. La réalisatrice s'empare du sous genre horrifique le plus organique (le body horror) afin d'exacerber cette réalité jusqu'à la terreur tétanisante.

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Le film est une réponse constante, outrancière et réjouissante, au male gaze, ce regard masculin, qui sexualise le corps féminin et le plie à ses propres fantasmes libidineux. © BestImage, Lucia Sabatelli / Bestimage

Le film est une réponse constante, outrancière et réjouissante, au male gaze, ce regard masculin, qui sexualise le corps féminin et le plie à ses propres fantasmes libidineux.

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