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Culture
Photos : Théâtre : on a vu “La veuve rusée” aux Bouffes Parisiens, et c'est une satire ravageuse de la galanterie avec un casting aussi étonnant que déchaîné
Publié le 12 septembre 2024 à 11:35
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Théâtre : on a vu “La veuve rusée” aux Bouffes Parisiens, et c'est une satire ravageuse de la galanterie avec un casting aussi étonnant que déchaîné © © Béatrice Livet

Théâtre : on a vu “La veuve rusée” aux Bouffes Parisiens, et c'est une satire ravageuse de la galanterie avec un casting aussi étonnant que déchaîné

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Pièce comique au rythme affolant signée Goldoni, “La veuve rusée” est à découvrir sur les planches des Bouffes Parisiens. Cette satire passant au crible galanterie et chauvinisme redouble d’esprit plus de deux siècles après sa création. Et le casting déchaîné de cette nouvelle mise en scène lui rend bien.

Pièce comique au rythme affolant signée Goldoni, “La veuve rusée” est à découvrir sur les planches des Bouffes Parisiens. Cette satire passant au crible galanterie et chauvinisme redouble d’esprit plus de deux siècles après sa création. Et le casting déchaîné de cette nouvelle mise en scène lui rend bien.

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Lors de la première, le public s'est notamment réjoui des partitions de Tom Leeb, d'un abattement physique impressionnant en espiègle Arlequin, Vincent Desagnat, riche d'une autodérision succulente dans la peau d'un Français chauvin tout en courbettes... © BestImage

Lors de la première, le public s'est notamment réjoui des partitions de Tom Leeb, d'un abattement physique impressionnant en espiègle Arlequin, Vincent Desagnat, riche d'une autodérision succulente dans la peau d'un Français chauvin tout en courbettes...

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Ou encore Caterina Murino bien évidemment, la Rosaura en question, “reine du coeur” aussi caustique que charismatique. © BestImage

Ou encore Caterina Murino bien évidemment, la Rosaura en question, “reine du coeur” aussi caustique que charismatique.

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Dans la salle des “Bouffes” ce soir du 10 septembre, Michel Leeb n’a d'ailleurs pu empêcher son rire sonore si caractéristique de retentir, au premier rang, face aux pitreries particulièrement millimétrées de son fils Tom. Comme quoi, l’action des pièces de théâtre parfois s’exprime bien au-delà des planches. Et la cocasserie se fait volontiers contagieuse. © BestImage

Dans la salle des “Bouffes” ce soir du 10 septembre, Michel Leeb n’a d'ailleurs pu empêcher son rire sonore si caractéristique de retentir, au premier rang, face aux pitreries particulièrement millimétrées de son fils Tom. Comme quoi, l’action des pièces de théâtre parfois s’exprime bien au-delà des planches. Et la cocasserie se fait volontiers contagieuse.

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